Doctorante au sein du laboratoire INAMA

Doctorante au sein du laboratoire INAMA

Architecte d.p.l.g. Diplômé en 1996, il fonde en 2008 l’agence AT avec Céline Teddé. Il enseigne depuis 2006 à l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Marseille dont il est Maître de conférence depuis 2012. Il interroge depuis 5 ans la relation architecture/structure dans un enseignement de master intitulé « Pas d’Architecture sans structure ! »

Militante des CEMÉA PDLL, éducatrice populaire, elle fait aussi des photos. Elle a fait partie de l’équipe d’animation du terrain d’aventure de Belle-Beille en 2019. Les CEMÉA PDLL sont un mouvement pédagogique militant de l’éducation nouvelle et de l’éducation populaire, œuvrant dans les champs de la formation et de l’intervention sociale.

Doctorante au sein du laboratoire Project[s]

Architecte DPLG, doctorante en sciences de l’éducation au laboratoire ADEF, Aix-Marseille Université et fondatrice & PDG chez ia.

Docteur en sciences de l’éducation, ses travaux portent sur le jeu, ses usages et ses formes et, plus largement, aux loisirs des enfants et des jeunes. Ces usages sont étudiés en relation avec l’encadrement de ceux-ci en rapport avec le travail des animatrices et des animateurs. Il s’agit ainsi d’interroger les pratiques de loisir ainsi que les formes de l’éducation.

Alexandra Biehler est docteur en géographie et paysagiste DPLG, et maître de conférence à l’école nationale supérieure d’architecture de Marseille (ENSA•M). C’est à partir de sa pratique professionnelle de paysagiste qu’elle a élaboré une problématique de recherche sur les modes de constitution de l’espace public à Ouagadougou. Directrice du laboratoire PROJECT[s].

Doctorant au sein du laboratoire INAMA

Militant des CEMÉA PDLL, de l’éducation populaire et de l’éducation nouvelle.

Membre d’un des séminaires 2107 et 2018 conduits par Jérôme Guéneau et Gilles Sensini dans l’atelier Avec l’Architecture, au sein du domaine d’étude Préexistence. Séminaires portant sur le mouvement moderne hétérodoxe milanais des années 40′ à 60′.

Militant des CEMÉA PDLL, animateur du terrain d’aventure en 2018 et 2019.

Florent Chiappero est architecte, co-fondateur du Collectif Etc dont chacune des actions vise à questionner la manière de construire une ville plus démocratique par le biais d’interventions dans l’espace public et activer des populations et de leur donner un rôle moteur dans la modification du paysage.

Hélène Corset Maillard est directrice de l’ensa•marseille depuis le 1er février 2019. Architecte et Urbaniste de l’État, elle était auparavant chef du service territorial de l’Architecture et du Patrimoine et chargée du Secteur de Marseille et de l’arrondissement est des Bouches-du-Rhône auprès de l’ Unité Départementale de l’Architecture et du Patrimoine des Bouches-du-Rhône (UDAP13). Antérieurement elle fut notamment chef du service départementale de l’architecture et du patrimoine des Ardennes en 2006, avant d’être nommée membre suppléante de la Commission nationale du patrimoine et de l’architecture en qualité de représentante des services déconcentrés du ministère de la Culture fin 2017. Elle a été diplômée de l’école de Chaillot en 2003.

Membre d’un des séminaires 2107 et 2018 conduits par Jérôme Guéneau et Gilles Sensini dans l’atelier Avec l’Architecture, au sein du domaine d’étude Préexistence. Séminaires portant sur le mouvement moderne hétérodoxe milanais des années 40′ à 60′.

Eugénie Denarnaud est enseignante-chercheuse en sciences du paysage à l’École Nationale Supérieure de Paysage de Marseille et associée au Laboratoire de recherche en projet de paysage (LAREP). Ses recherches portent sur l’exploration de la notion de frontière, de limite ou d’interstice, à travers l’étude de l’impact des circulations maritimes sur les paysages de détroit et de passage (aspect social, culturel, géopolitique de la fabrique des territoires côtiers). Elle mène ses recherches dans le détroit de Gibraltar notamment à Tanger (Maroc), où elle a étudié dans une approche environnementale la figure des jardins ordinaires urbain comme révélateurs de connaissances vernaculaires du milieu ambiant, au sein et au-delà de la barrière du jardin, dans le grand paysage du détroit. Elle a participé à l’ouvrage Transition par le paysage, L’étang de Berre, territoire laboratoire pour Aix-Marseille-Provence Métropole, Cahier POPSU 3.

Membre d’un des séminaires 2107 et 2018 conduits par Jérôme Guéneau et Gilles Sensini dans l’atelier Avec l’Architecture, au sein du domaine d’étude Préexistence. Séminaires portant sur le mouvement moderne hétérodoxe milanais des années 40′ à 60′.

Eric Dussol est architecte DPLG, enseignant-chercheur à l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Marseille. Il enseigne le projet et la théorie de l’architecture et du projet urbain.

Laurence Espinassy est directrice adjointe de l’Inspé d’AMU et maître de conférences en science de l’éducation. Elle est également co-responsble du programme de recherche ODE (Organisateurs de l’activité enseignante entre dimensions didactiques et ergonomiques) du laboratoire ADEF UR4671.

Membre d’un des séminaires 2107 et 2018 conduits par Jérôme Guéneau et Gilles Sensini dans l’atelier Avec l’Architecture, au sein du domaine d’étude Préexistence. Séminaires portant sur le mouvement moderne hétérodoxe milanais des années 40′ à 60′.

Membre d’un des séminaires 2107 et 2018 conduits par Jérôme Guéneau et Gilles Sensini dans l’atelier Avec l’Architecture, au sein du domaine d’étude Préexistence. Séminaires portant sur le mouvement moderne hétérodoxe milanais des années 40′ à 60′.

Architecte, maître de conférence associée à l’ensa•m. Son agence travaille sur différentes échelles et divers sujets : Habitat, Social, Expérimental et Privé ; Équipements publics, avec une posture résolument expérimentale et engagée. Son enseignement s’appuie sur l’expérience d’une pratique ouverte et concrète pour contribuer à la formation d’Architectes responsables et libres, porteurs d’une véritable éthique réaliste.

Enseignat chercheur. De manière générale, son travail tisse un lien contradictoire entre les conditions d’apparition d’une oeuvre d’art et celles de la disparition de l’architecture. Son récent projet « Crash Box », relève d’une expérimentation vidéo qui consiste à filmer des bâtiments démolis par foudroyage intégral depuis un point de vue intérieur, au plus proche des charges explosives. Les images ainsi capturées manifestent, dans le presque rien à voir de l’effondrement, l’échec du projet social porté par cette architecture de la reconstruction.

Roberta Ghelli est architecte médiatrice, docteure en sociologie de l’Université de Bordeaux (avec la thèse « Éduquer les enfants à l’architecture : médiations à l’École »), chercheure au laboratoire AAU-Cresson et enseignante à l’ENSA Grenoble. Elle a participé à l’étude sur la « Culture architecturale des français » et collaboré à la rédaction de l’ouvrage homonyme paru en 2018. Depuis 2016, elle travaille à la Compagnie des rêves urbains (Marseille) et est référente du projet « La ville en jeux », soutenu par le Ministère de la Culture et la Caisse des Dépôts-Mécenats.

Enseignant-chercheur au laboratoire INAMA, Directrice du département de la recherche doctorale de l’école. Membre associée du LAVUE (Laboratoire Architecture, Ville, Urbanisme, Environnement, UMR 7218), équipe CRH (Centre de Recherche sur l’Habitat) et du CETOBAC (Centre d’Études Turques, Ottomanes, Balkaniques et Centrasiatiques, UMR 8032, EHESS/CNRS/Collège de France) depuis 2010. Directrice du DREAM, département de la recherche doctorale de l’ENSA-Marseille depuis le 1e septembre 2017.

Animateur au sein de Centre Jacques Tati, animateur sur le terrain d’aventure 2019, aujourd’hui coordinateur du projet au sein de la structure. Militant de l’éducation nouvelle et de l’éducation populaire.

Maître de conférences à l’ensa•M depuis 2011, Jérôme Guéneau est architecte, exerçant depuis 1998 principalement pour des maitrises d’ouvrage publiques. Il est enseignant titulaire à l’ENSAM depuis 2014. Il a été maitre assistant des écoles d’architecture depuis 2011 d’abord à l’ENSA Bretagne à Rennes puis à l’ENSA Paris Belleville. Il est chercheur en anthropologie des techniques au centre Norbert Elias (Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales) à Marseille (UMR 8562). Ses recherches s’intéressent à l’architecture comme métier, aux discours de légitimation de son exercice soit inscrire le métier de l’architecte dans une histoire du travail divisé.

Architecte DPLG diplômé de l’ensa•Marseille en 1982, docteur en sciences depuis 1989 et HDR en architecture obtenue en 1999 à l’université Louis Pasteur de Strasbourg. Stéphane Hanrot était professeur en Théorie et Pratique de la Conception Architecturale et Urbaine (TPCAU) depuis 2001. Il fut le fondateur et le directeur du laboratoire PROJECT[s] créé en 2014 par fusion des anciens laboratoires ABC et Insartis. Il fut également à l’origine de la création du département de la recherche doctorale de l’école (DREAM). Stéphane nous a malheureusement quittés le lundi 4 septembre 2017.

Thèse soutenu à l’ensa•marseille, ED 355 Aix-Marseille Université le 16 février 2016 Titre de la thèse : “ Le Workshop d’Architecture et d’Urbanisme (WAU) comme dispositif pédagogique pour la formation à la conception collaborative”

Membre d’un des séminaires 2107 et 2018 conduits par Jérôme Guéneau et Gilles Sensini dans l’atelier Avec l’Architecture, au sein du domaine d’étude Préexistence. Séminaires portant sur le mouvement moderne hétérodoxe milanais des années 40′ à 60′.

Directeur Adjoint “Partenariats et Vie étudiante”. Patrice Laisney est directeur adjoint de l’Inspé d’AMU et maître de conférences en science de l’éducation, membre du laboratoire ADEF UR4671.

Annalisa Lollo est Anthropologue de l’enfance pour les associations Hors Gabarit et LesArchiMinots et animatrice d’ateliers d’arts.

Militant des CEMÉA PDLL, de l’éducation nouvelle et de l’éducation populaire, permanent au CEMÉA PDDL. À l’initiative du projet de Belle-Beille avec le Centre social Jacques Tati. Les CEMÉA PDLL sont un mouvement pédagogique militant de l’éducation nouvelle et de l’éducation populaire, œuvrant dans les champs de la formation et de l’intervention sociale.

Doctorant au sein du laboratoire Project[s]

Architecte et enseignante, le projet est au centre de ses activités, elle l’a donc posé au centre de ses recherches, qui en interrogent : les définitions limites, les enseignements post-68 et les représentations matérielles et intellectuelles. Membre du laboratoire Project[s], elle y coordonne l’axe 1 Pédagogie réflexive du et pour le projet. Elle est aussi doctorante en Architecture-Culture-Projet, au CERILAC à l’Université Paris-Diderot, où elle termine sa thèse Projeter en maquettes au-delà du plan : le matériau comme règle du modèle, sous la direction de Paolo Amaldi.

Membre d’un des séminaires 2107 et 2018 conduits par Jérôme Guéneau et Gilles Sensini dans l’atelier Avec l’Architecture, au sein du domaine d’étude Préexistence. Séminaires portant sur le mouvement moderne hétérodoxe milanais des années 40′ à 60′.

Julien Monfort est maître de conférences à l’école dans le champ TPCAU, architecte et co-fondateur de l’agence MOA-Architecture. Pour l’année scolaire 2018-2019, il encadre le stage de chantier et enseigne “l’équipement métropolitain” en Licence ainsi que les “projets dans le territoire” en Master entre autres enseignements..

Depuis 2007, Nadja Monnet est chercheuse-membre du Laboratoire Architecture/Anthropologie, UMR 7218 LAVUE, CNRS. Elle co-coordonne avec Ferdinando Fava le chantier « Être habitant ? ». Ses recherches ethnographiques se sont développées principalement dans la ville de Barcelone pendant 20 ans autour des questions des usages des espaces publics, des relations de voisinage, de la perception de l’altérité et des mécanismes de différenciation et depuis plus récemment des pratiques urbaines des enfants et adolescents. Elle a coordonné avec Mouloud Boukala un numéro de la revue canadienne Enfances, Familles, Générations sur le sujet.

Julia Moutiez est architecte, doctorante au Centre de Recherche sur l’Habitat (CRH) composante de l’UMR CNRS 7218 LAVUE, à l’École nationale supérieure d’architecture de Paris Val-de-Seine. Sous la direction de Nadine Roudil et Nadja Monnet, sa thèse porte sur l’impact du réchauffement climatique sur les espaces publics. Le phénomène est étudié à travers le prisme du développement des aménagements et pratiques de baignade en bord de fleuve des grandes villes européennes. Son projet de recherche est financé dans le cadre d’un demi-contrat doctoral du Ministère de la Culture, et d’un mécénat de la Caisse des Dépôts et Consignations pour le développement de la recherche en architecture, urbanisme et paysage.

Étudiant en Master de 2014 à 2017.

Ken Novellas est paysagiste DPLG et urbaniste. Dans le cadre de son doctorat en mention « paysage » dit « par le projet » débuté en 2019, il est affilié à l’EUR « Humanités, Création et Patrimoine » de l’université de Cergy-Pontoise et au LAREP (Laboratoire de Recherche en Projet de Paysage de l’ENSP). Sa thèse traitant de l’aménagement du littoral de l’étang de Berre et du golfe de Fos face aux changements climatiques, il a encadré les participants du workshop : « Ressourcer l'étang de Berre - Quels paysages à l'horizon 2050 ? ».

Membre d’un des séminaires 2107 et 2018 conduits par Jérôme Guéneau et Gilles Sensini dans l’atelier Avec l’Architecture, au sein du domaine d’étude Préexistence. Séminaires portant sur le mouvement moderne hétérodoxe milanais des années 40′ à 60′.

Chercheur-doctorant depuis Janvier 2013 au sein du Laboratoire PROJECT[s] PROJETS EN COURS : Préparation du doctorat en architecture à l’ENSA•Marseille TITRE DE LA THÈSE : “Les acteurs du projet territorial : quels rôles et quelles compétences pour les architectes ?”

Ethnologue, professeur à l’université Lumière Lyon 2 et membre du laboratoire Environnement Ville Société (EVS), UMR 5600 du CNRS. Il conduit principalement des recherches sur les minéraux précieux, les épreuves corporelles et les conduites à risque, les émotions et la sensorialité, les formes d’émancipation et d’éducation populaire, les manières d’habiter la nature et les marges urbaines, étudiées dans une perspective transnationale.

Francesca Riva, éducatrice-chercheuse d’origine italienne, coordinatrice de l’association 3.2.1, basée à Marseille. 3.2.1 propose des ateliers centrés sur le débridage de l’imaginaire et du potentiel expressif et créatif de chacun. Elle accompagne des démarches participatives notamment avec les habitants de la cité de la Castellane, dans les quartiers nord de Marseille.

Christophe Rodo est jeune chercheur en neurosciences, LNC, AMU – vulgarisateur scientifique, podcast La Tête Dans Le Cerveau.

Sylvie Salles, architecte et docteure en études urbaines, est professeure HDR en projet de paysage à l’École Nationale Supérieure de Paysage et chercheuse au Laboratoire de recherche en projet de paysage (Larep). Ses recherches portent sur les relations entre paysage et environnement en aménagement et développent une réflexion sur des conditions d’habitabilité engageant des formes sensibles d’interactions homme-environnement. Elle dirige l’équipe scientifique du programme POPSU métropole Aix-Marseille-Provence (2019-2023).

Doctorant au sein du laboratoire Project[s]

Marie Segonne est architecte et doctorante en sociologie à l’université Paris 8 au laboratoire LAVUE. Sous la direction d’Agnès Deboulet, elle travaille sur les initiatives d’urbanisme alternatif dans les quartiers précaires.

Architecte, Urbaniste et enseignant. Depuis 2005, il a créé son agence, aujourd’hui dénommée Polyptyque (associé à Marie Gabreau) avec laquelle il réalise des projets urbains comme l’EAI à Montpellier, associé à l’agence WEST8, des projet d’espaces publics comme le Parc du Moulon à Paris-Saclay, toujours avec l’agence WEST8, des projets de logements et des équipements publics comme un groupe scolaire à Saint-Julien-en-Genevois en association avec les architectes José Morales et Jean-Marc Chancel. Depuis 2005, il enseigne à l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Marseille après avoir été enseignant aux écoles d’architecture de Paris Belleville et de Paris la Villette.

Marion Serre est architecte, chercheur et enseignante à l’ENSA•Marseille. Son travail de recherche s’intéresse à l’implication des habitants et, plus particulièrement, à la construction de compétences collectives entre l’ensemble des acteurs impliqués dans la fabrique des territoires urbains, périurbains et ruraux.

Doctorant au sein du laboratoire Project[s]

Séverine Steenhuyse est architecte et urbaniste de l’État, ingénieur de recherche et directrice adjointe du laboratoire Project[s] de l’ENSA•Marseille. Elle est docteur en Esthétique suite à sa soutenance de thèse en 2004 : Histoire de la production d’un site inqualifiable : du paysage perdu de l’Etang-de-Berre aux valeurs des territoires modernes (dirigée par Augustin Berque) à l’EHESS et diplômée de l’École Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles.

Membre d’un des séminaires 2107 et 2018 conduits par Jérôme Guéneau et Gilles Sensini dans l’atelier Avec l’Architecture, au sein du domaine d’étude Préexistence. Séminaires portant sur le mouvement moderne hétérodoxe milanais des années 40′ à 60′.

Laure Thierrée, paysagiste dplg, est enseignante à l’Ecole Nationale Supérieure de Paysage où elle a animé pendant quatre ans la chaire eau et paysage. Elle défend le rôle stratégique de l'espace ouvert dans le changement de modèle imposé par les transitions et la capacité du projet de paysage à fabriquer l’habitabilité des territoires avec les vivants. Elle exerce auprès des collectivités des missions d’assistance à maîtrise d’ouvrage, de stratégie territoriale, de planification et de maîtrise d’œuvre. Primée aux albums des jeunes architectes et paysagistes (2014), elle a été pensionnaire à la villa Médicis (2016 et 2017). Elle est également paysagiste-conseil de l’état auprès de la DDTM des côtes d'Armor.

Jean-Marc Zuretti a été directeur de l’ensa•marseille entre octobre 2015 et octobre 2018. Il occupait auparavant la même fonction à l’ensap de Lille. Il est diplômé de l’école de Chaillot en 1997.